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Etudiants heureux sautent

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CESI École Supérieure de l’Alternance et CESI École d’Ingénieurs en partenariat avec Orange ont lancé le 16 mars dernier le projet les « Elles du Numérique »! Le but de ce projet est de sensibiliser des étudiants-tes volontaires et motivés-es sur le sujet de la mixité dans les métiers du numérique et déclencher des prises de conscience, susciter des rencontres avec des décideurs, les confronter aux réalités des entreprises…

Les « Elles du Numérique » se déroule en 4 étapes :

  • Le 23 mars : Témoignages de femme du numérique et débat d’ouverture sur la mixité
  • Le 30 mars : Témoignages de RH sur l’intérêt de la mixité dans le numérique
  • Le 4 mai : Remise des Labels « Les Elles du Numérique »
  • Le 7 mai : Conférence de Nicolas ARPAGIAN

Nicolas ARPAGIAN est le Directeur de la Stratégie et des Affaires Publiques, ORANGE CYBERDEFENSE

Découvrez-en plus sur ce projet avec les témoignages de nos étudiant-es

Qu’est-ce qui vous motive à participer aux « Elles du Numérique » ?
Ce qui me motive à participer aux « Elles du Numérique » c’est de faire évoluer les stéréotypes sur l’informatique en général. Mais également d’attendre une certaine mixité dans le domaine de l’informatique.

Qu’espérez-vous de ces semaines d’échanges ?
J’espère en apprendre davantage sur le fait qu’il y ait plus de garçons que de fille dans le domaine de l’informatique et comment peut-on changer les choses pour améliorer ça.

Florian SPICK

Qu’est-ce qui vous motive à participer aux « Elles du Numérique » ?
Effectivement le terme motivation correspond bien à ma démarche. En effet je remarque que les femmes sont très peu présentes dans le numérique, mais pourquoi ? À la suite de ces questions et de ma grande motivation à vouloir changer la donne, j’ai très vite adhéré à la démarche.C’est un projet qui me permettra d’acquérir, renforcer mes bases, ma compréhension et mes arguments pour faire évoluer les mentalités, stéréotypes dans nos sociétés mais également autour de moi. Pour finir nous sommes un bon petit groupe, nous échangeons régulièrement autour des différents sujets sur les femmes dans le numérique. Cela permet de nous ouvrir un peu plus les yeux et l’esprit selon les retours de chacune, chacun venant d’horizons différents.

Qu’espérez-vous de ces semaines d’échanges ?
Nous allons effectuer plusieurs semaines d’échanges, cela nous permettra de rencontrer, d’écouter des témoignages de femmes, d’hommes adhérant à ce projet les « Elles du numérique ». Je ne doute pas que ces échanges seront constructifs pour la suite du projet. Nous sommes dans une société où il y a encore beaucoup de choses à améliorer, nos échanges permettront d’aider à cette construction et de repartir sur de meilleures bases. Même si nous nous ne sommes pas une centaine, nous pourrons planter une petite graine autour des personnes nous entourant, qui germera et portera ses fruits.

Stanislas MARCON

Qu’est-ce qui vous motive à participer aux « Elles du Numérique » ?
En tant que femme je me sens tout particulièrement concernée par la problématique.
Comme le montrent les chiffres, la femme est largement sous représentée dans les métiers du numérique.
Je pense qu’il est bien de sensibiliser et de partager des idées afin de trouver des solutions de manière à pouvoir partager ce qui aura été dit et ainsi pouvoir sensibiliser les (futures) femmes qui pourraient rejoindre ce milieu.
Nous avons la chance d’avoir des professionnels à nos côtés et également des entreprises qui nous soutiennent ce qui peut apporter un plus au(x) message(s) que nous voudrons faire passer au terme de ce projet.

Qu’espérez-vous de ces semaines d’échanges ?
Partager les différentes visions des femmes dans le numérique au sein de notre groupe puis par la suite à travers le monde par les différents témoignages qui nous seront proposés.
Au terme de ce projet, mettre en place un plan d’action de manière à nous rendre utiles pour faire avancer les choses. L’objectif n’est pas simplement de parler entre nous, il faut également réussir à convaincre que les femmes ont leur place dans ce milieu autant que les hommes.
De plus je pense que le fait que des hommes en parle également est un plus pour sensibiliser aussi bien les hommes que les femmes et crédibiliser les différents projets qui découleront de cette expérience.

Réjane FRANTZEN